Sa passion pour le chant naît des nombreuses années de chant choral au sein de la maîtrise puis de la Schola de l’Orne.
Elle intègre la classe de chant lyrique de Muriel Souty et poursuit sa formation de chanteuse au CRR de Tours auprès de Noémi Rime et de Franck Leguérinel.
Elle obtient en 2019 un DEM de chant lyrique ainsi qu’une licence de musicologie.
Elle étudie depuis septembre 2020 au CNSMD de Lyon dans la classe de Mireille Delunsch et Sylvie Leroy et obtient sa licence de chant en 2023.
Lors de master-class, elle rencontre Véronique Gens, Marie-Thérèse Keller, Vivica Génaux, Vincent Letexier, Delphine Haidan, Peter Kooij, Irène Kudela.
En 2019, elle interprète le rôle de Cléopâtre dans Jules César en Egypte (Haendel) à l’Opéra de Tours. En 2020, elle joue Pedro, dans Don Quichotte (Massenet) dirigé par Gwennolé Rufet à l’Opéra de Tours également.
Elle rejoint en 2021 le chœur supplémentaire de l’Opéra de Tours. On a pu la voir en Papagena dans la Flûte enchantée (Mozart) au
CNSMDL et en Cupidon dans Orphée au enfers (Offenbach).

Marie est régulièrement soliste dans des œuvres pour chœur et orchestre.
En 2018, elle est soliste dans la Fantaisie chorale (Beethoven) à l’Opéra de Tours. Elle chante les solos soprano de nombreux oratorios tels que Le Messie (Haendel), le Magnificat (Bach), le Gloria (Vivaldi), le Magnificat (Monteverdi), le Requiem (Fauré), des cantates de Bach…

Curieuse de divers répertoires, elle se produit en tant que soliste (création de la Tango Chor Fantasie de M. Palmeri, Weihnachtsoratorium de J-S Bach, Biblické písně de A.Dvořák…), et polyphoniste passionnée (Atelier Lyrique de Tourcoing, ensembles In Paradisum, In Chorus, Seguido, académie Aedes….). Elle est également chanteuse-interprète pour des projets théâtraux de la compagnie Nord Théâtre.

Le duo Canzonet (clavecin/ clavinet et voix) mêle musiques actuelles et anciennes en un joyeux patchwork, et le trio Meydelech (piano, flûte à bec, voix) lui permet d’exprimer son amour pour la chanson yiddish.

Elle a l’opportunité de jouer sur scène des rôles d’opérettes comme La Belle Hélène, ou Ba-
ta-clan dans laquelle elle interprète le rôle principal. Elle aborde aussi un répertoire plus

confidentiel avec des airs de De Falla, Aperghis ou encore Gershwin. Ses affinités avec la
langue et la musique françaises la conduisent à monter des cycles de mélodies, donnés à
l’occasion de récitals. Enfin, Faustine est passionnée par le répertoire vocal d’Ensemble
qu’elle n’a jamais délaissé : elle chante à son arrivée à Paris avec l’Ensemble Exprîme, le
Requiem Allemand de Brahms ainsi que des cantates de Bach.

Mais l’attrait de la musique chorale la rattrape rapidement et elle intègre à 15 ans la
classe de chant de Cécile Fournier au conservatoire de Grenoble. Ce goût pour la polyphonie
la pousse à se former également en formation musicale, écriture, et plus tard en direction de
choeur auprès de Leslie Peeters à l’ENM de Villeurbanne, ainsi qu’à toujours rechercher la
pratique chorale, notamment au sein de l’ensemble vocal Stravaganza (Y. Rassendren).

A la recherche d’une authenticité de l’interprétation, elle se perfectionne ensuite dans la classe
de chant baroque d’Isabelle Poulenard au Pôle Supérieur de Paris et obtient conjointement sa
licence de musicologie.
Elle intègre ensuite plusieurs ensembles : Emelthée (ML Teissèdre), Polhymnia (F. Marcon),
Les Voix Animées (L. Coadoux), ou encore le choeur des Musiciens du Louvre au sein
duquel elle participe aux productions de la Chauve Souris à l’Opéra Comique et d’Alceste au
palais Garnier.

Ces diverses productions lui offriront la possibilité de chanter sous la direction de Michel
Corboz, Jean Tubéry, Marc Minkowski et de participer à des créations de Thierry Machuel,
Philippe Forget et Erik Truffaz, sous la direction des compositeurs.

Elle se produit également en soliste d’oratorio, ainsi qu’en musique de chambre dans des
cycles de Lieder et de mélodies, où la polyphonie prend une autre dimension dans l’interaction
entre la voix et le piano, et depuis 2018 en tant que cheffe de choeur tant auprès d’adultes que
d’enfants.

Au cours de divers stages et master-classes, Annouk Jobic a l’occasion de se parfaire auprès
de chanteurs et de chefs de chant renommés : Serge Cyferstein, Irène Kudela, Emmanuel Olivier,
David Selig, Ira Siff, Yann Beuron, Leontina Vaduva…
En marge de ses études, Annouk Jobic a interprété différents rôles solistes sur scène : Oreste
dans La Belle Hélène (J. Offenbach), Lazuli dans L’Étoile (E. Chabrier), l’Opinion Publique dans
Orphée aux Enfers (J. Offenbach), Mère Marie dans Les Dialogues des Carmélites (F. Poulenc) et
tout dernièrement Phoenice dans Armide (C.W. Gluck) au CNSMD de Lyon.
Elle a également joué
le rôle d’Orphée lors de la création du spectacle La Résurrection d’Orphée écrit par Gérard
Théruel au cours du Festival Lyrique de Samoëns. En 2022 elle interprétera Mutter Hannah dans
Rösli vom Säntis de Franz Curti en Suisse.

Annouk Jobic se produit régulièrement en récital dans des répertoires tout à fait variés : les
Folksongs de L. Bério à la Philharmonie de Paris, les Dimotika d’Aleksandros Markeas au CRR de
Rueil,les Berceuses du Chat de I. Stravinsky et les Frauenliebe und leben de R. Schumann au
Pôle suprérieur de Boulogne et très prochainement les Lieder eines fahrenden Gesellen de G.
Mahler avec orchestre au CNSMD de Lyon.

Elle chante aussi les parties solistes d’oratorio : Requiem de W.A. Mozart, Stabat Mater de
G.B. Pergolesi dans le cadre du Jeune Choeur Atelier de l’Opéra de Massy dirigé par Jérôme
Corréas et prochainement la Messe en ré de A. Dvorak.
Dans le cadre de son Master, Annouk prépare un mémoire sur Pauline Viardot et les rôles
qu’elle créa au XIXe siècle en France.

Audrey Vollerin est dans la musique depuis son enfance. A onze ans, elle intègre la Maîtrise de la Loire où elle apprend le piano et le chant.

Sa formation terminée, c’est au conservatoire de Lyon qu’elle se spécialise dans le travail de la voix, en suivant à la fois le cursus de chant lyrique mais aussi celui du jazz vocal.

Elle ajoute une couleur différente à cette palette en explorant la chanson française sous le nom de Sarah Mikovski.
Elle a chanté dans le Choeur de l’Oratorio de Lyon, le choeur de femme Artmilles, le choeur de l’Hôtel Dieu, la compagnie pleine lune

Musicienne recherchée, Fanny se produit régulièrement en soliste, avec choeur ou bien avec orchestre dans divers lieux prestigieux tels l’Auditorium de Lyon, le Consulat Français de Tlemcen en Algérie ou encore la Jesuitenkirche à Vienne en Autriche.
Très attachée à la pédagogie, elle enseigne l’orgue au Conservatoire Maurice Ravel de Levallois Perret et le piano à l’Ecole de Musique franco-hongroise de Lyon. 

Elle est ainsi la diva Ginger dans le Ginger Brass Experiment, trio pour chant lyrique et deux cuivres, elle chante avec l’accordéoniste Patricia Hivert dans le duo Youkali, et s’essaie à la danse chantée avec la Compagnie de danse ATOU.
Elle développe par ailleurs des ateliers d’expérimentation vocale avec Le Grand Larsen.

Elle s’oriente alors vers des études musicales au lycée et découvre l’art lyrique au conservatoire de Tarbes. Après un passage par Toulouse et l’obtention de sa licence de Musique et musicologie, elle continue sa formation à Lyon, au Conservatoire à rayonnement régional, dans les classes de Denis Manfroy et Pierre Ribemont.

Elle s’investit parallèlement dans divers projets mêlant musique et théâtre.
Curieuse, créative, et attirée depuis toujours par la composition en musiques actuelles, elle découvre également le beat-box, le rap, l’improvisation vocale, la composition électroacoustique et la musique assistée par ordinateur.
Depuis, l’interprète et la créatrice continuent de se côtoyer.

Comme soprano, elle intervient en tant que soliste dans de grandes pièces du répertoire (Carmina Burana de C. Orff, Stabat Mater de G.B. Pergolèse, Messe solennelle de Sainte-Cécile de Ch. Gounod) ou en chœur avec l’ensemble Esquisses dirigé par Guillemette
Daboval et le chœur Spirito dirigé par Nicole Corti.

Ces productions lui offrent l’opportunité de chanter dans des lieux prestigieux (Auditorium-Orchestre national de Lyon, Festival des
Nuits de Fourvière, Festival Berlioz, Grand Théâtre d’Aix-en-Provence, scène l’Alhambra de Genève) sous la direction de chefs de renom tels que Léonard Slatkin, Speranza Scapucci, Timothy Brock, John Nelson ou encore David Zinman.

Elle débute des études de médecine à la faculté de Freiburg en Allemagne, en passant par Buenos Aires et Lyon dans le cadre d’échanges. Elle obtient son diplôme de médecin en 2015 ainsi que le prix « medical excellence » de la fondation Manfred Lautenschläger.

Marie rêve de devenir chanteuse. Elle décide alors de s’accorder une année pour apprendre la musique. Elle s’inscrit en L1 de musique/musicologie à l’université Lyon 2 et découvre alors sa passion pour le chant.

Après avoir été admise en chanson et en piano classique à l’ENM de Villeurbanne en 2016, elle décide de poursuivre ses études à Lyon et obtient sa licence de musique et musicologie en 2019. En parallèle, elle obtient le titre de docteur en médecine en 2017 suite à la soutenance de sa thèse sur la névralgie amyotrophique et met un point à son parcours médical.

Depuis juin 2018, elle chante en alto au sein du Jeune Choeur Symphonique (pôle pédagogique du choeur Spirito dirigé par Nicole Corti) et fait partie de l’ensemble Esquisses depuis octobre 2019. Elle est admise en chant lyrique dans la classe d’Elsa Goujon-Gregori en 2018 et poursuit actuellement son cursus à l’ENM de Villeurbanne.

C’est par le biais de la Maîtrise de Bretagne que Morgane Boudeville découvre la musique. Elle y chante durant 5 ans et poursuit ensuite ses études dans le domaine artistique en suivant, en parallèle à ses cours de théâtre, les enseignements musicaux du CRR de Rennes.
Dans un premier temps, Pascal Dubreuil lui enseigne la musique ancienne à travers le clavecin et le chant. Puis Martine Surais l’intègre dans sa classe de technique vocale en 2008 dont elle obtiendra le DEM en 2012. Parallèlement à sa pratique musicale, elle décrochera sa Licence de Musicologie à l’Université Rennes II en 2011.

Par la suite, elle intègre l’ESM de Dijon dans la classe de chant d’Agnès Mellon, Jean-Paul Fouchécourt et Valérie Philippin, formation qui lui apportera le Diplôme d’Etat en pédagogie du chant et le DNSPM. C’est pendant cette période qu’elle crée A Bocca Chiusa avec Caroline Michel.

Et c’est en Juin 2018 qu’elle clôturera ses études en obtenant avec mention, son Master de Chant Lyrique au CNSMD de Lyon dans la classe d’Isabelle Germain et Fabrice Boulanger.Elle aura eu l’occasion d’interpréter Sesto dans la Clemenza di Tito de Mozart, au Grand Théâtre de Dijon, et travaille actuellement dans de grands ensembles français comme Pygmalion (Raphael Pichon), Aedes (Mathieu Romano), Accentus (Laurence Equilbey), Spirito (Nicole Corti), avec lesquels elle se produit tant en France qu’à l’étranger.

Après des études de littérature anglo-saxonne, c’est à 20 ans que Clémence se tourne vers le chant. Elle s’engage dans une licence de musicologie, qu’elle obtient en juin 2017, tout en débutant son apprentissage en chant lyrique au Conservatoire à Rayonnement Régional de Montpellier dans la classe de Nicolas Domingues.

Elle est, en parallèle de ses études à l’université et au conservatoire, choriste et soliste à Opéra Junior, maîtrise et département pour jeunes chanteurs de l’Opéra et Orchestre National de Montpellier où elle aura l’occasion d’interpréter le rôle-titre dans Geneviève de Brabant de Jacques Offenbach.

En septembre 2017, Clémence intègre la classe de Gisèle Fixe dans le conservatoire du 7ème arrondissement de Paris, puis le cycle spécialisé du Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris en septembre 2019.

Elle obtient son DEM de chant lyrique au Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris en juin 2021 avec les félicitations du jury.
Particulièrement attirée par la musique d’ensemble, Clémence est également dans plusieurs choeurs et ensembles professionnels sur Paris, Lyon, Toulouse et Montpellier (La Camera delle Lacrime, Êkhô, Esquisses, Dulci Jubilo) abordant des répertoires allant de la musique médiévale à la musique contemporaine.

Annouk Jobic commence sa formation de chanteuse lyrique en région parisienne auprès de Florence Katz au CRD de Bourg-la-Reine, de Mary Saint-Palais au CRR de Rueil-Malmaison, puis d’Anne Constantin au Pôle Supérieurde Paris/Boulogne.
En 2019, elle intègre le Conservatoire National de Musique et de Danse de Lyon dans la classe d’Isabelle Germain et de Fabrice Boulanger.

Elle interprète différents rôles sur scène durant ses études, notamment : Lazuli dans L’Etoile de Chabrier, Mère Marie dans Dialogues des Carmélites de Poulenc, La Troisième Dame dans La Flûte enchantée de Mozart, Hélène dans La Belle Hélène d’Offenbach.

Elle se passionne également pour la musique de chambre et interprète un certain nombre de mélodies et de lieder en récital : La bonne chanson de Fauré, le Pierrot lunaire de Schoenberg, les Rückert-lieder de Mahler, les Liederkreis op. 39 de Schumann…
En parallèle de sa formation soliste, Annouk a toujours chanté en ensemble et dans les chœurs. En 2018, elle intègre le chœur-atelier de l’Opéra de Massy. Elle est membre de l’Ensemble Esquisses depuis 2021. En 2023, elle devient choriste supplémentaire dans les chœurs les plus prestigieux de France que sont le chœur de Radio France et le chœur de l’Opéra Bastille.